Laurence Macias-Pounit Sophrologue - Sophrothérapeute

Qu'est-ce que la sophrologie ?

Les origines

La Sophrologie a été créée dans les années 1960 par Alfonso Caycedo neuropsychiatre d'origine Colombienne et exerçant à Madrid.

Alfonso Caycedo a beaucoup voyagé en Inde, au Tibet et en Chine où il s’initie au Yoga, au Bouddhisme tibétain et au Zen japonais. Sa recherche pour améliorer le bien-être de ses patients en souffrance le conduit à utiliser les éléments spirituels qui peuvent construire l’individu. Il fait alors une synthèse des techniques orientales expérimentées et des techniques de relaxation occidentale.
Il crée, ainsi, la Sophrologie qui, étymologiquement provient du grec SOS : harmonie, PHREN : conscience et LOGOS : étude. C’est ainsi que nait la sophrologie Caycédienne ou « étude de la conscience en équilibre ».
Au début, il utilise la sophrologie dans le monde médical. Puis, dans les années 80, lors d’un voyage à Bogota, il travaille avec les enfants des rues et crée la Sophrologie sociale.
Alfonso Caycedo a dévoloppé la sophrologie tout au long de sa vie ; il est décédé en septembre 2017 et sa fille poursuit son travail.

De quoi s'agit-il ?

Il s’agit par des exercices et des techniques simples d’arriver à une harmonisation du corps et de l’esprit. La spécificité est que chacun peut intégrer ces techniques dans son quotidien.

La sophrologie n’est pas une simple technique de relaxation. Son intentionnalité est la conscientisation de soi, aller vers soi, un projet de vie. Apprendre à prendre conscience. Etre ici et maintenant dans le temps présent.

La sophrologie peut s’adapter à tous : relaxation dynamique, exercice respiratoire, être ici et maintenant , relaxation de détente avec des visualisations autour du bien être, du problème à traiter, du passé, du présent ou du futur et ce toujours de façon positive.
La finalité de l’entraînement sophrologique est de conduire chacun vers plus d’autonomie et de liberté.
Enfin, j’ajouterai qu’un des enseignements majeurs de la sophrologie c’est l’action positive : une bonne image de soi, des sentiments positifs, la capacité à dynamiser le positif dans son quotidien. Tout cela a un impact physiologique et psychologique important.

Quand il n'est pas médecin, le sophrologue reste dans le cadre fixé par le code déontologique de sa profession ou de sa fédération. Il est avant tout un enseignant qui transmet ce qu'il a lui-même expérimenté et intégré. La finalité de l'entraînement sophrologique est de conduire chacun vers plus d'autonomie et de liberté.

Laurence sophrologue





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